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Traction bovine à Montmorillon (86), L’ambition européenne de la traction animale, article de « La Nouvelle République

Emmanuel Fleurentdidier vient de nous communiquer cet article de presse de « La Nouvelle République » sur un stage de traction animale qu’il vient d’encadrer du 2 au 6 Juin, pour 12 stagiaires espagnols.

Cliquez ici pour voir l’article sur le site de « La Nouvelle République »

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Le CFPPA est a priori le seul organisme public d’Europe à former à la conduite des bœufs. Une formation « de niche » qui lui vaut des demandes de plusieurs pays étrangers.

La formation à la conduite des chevaux et des bœufs dispensée à Montmorillon attire des élèves européens : la semaine dernière, onze Espagnols.

 

Le CFPPA de Montmorillon a reçu, la semaine dernière, onze stagiaires espagnols venus suivre la formation à l’utilisation des chevaux et des bœufs attelés.

Une première pour le Centre de Formation pour Adultes, qui reçoit cette année plusieurs demandes de pays européens : «Nous allons recevoir des Portugais et des contacts sont pris avec des Anglais, des Suisses et des Allemands, indique l’un de ses responsables, Gérard Coti.

L’essentiel de la demande concerne les chevaux, mais ça monte pour les bovins : nous sommes a priori les seuls en Europe à proposer cet enseignement. Nous aimerions devenir un centre de référence. »

La particularité du CFPPA de Montmorillon tient à la présence dans ses effectifs d’Emmanuel Fleurentdidier : formateur à la conduite des chevaux, il propose depuis 2006 aux stagiaires de découvrir le métier de bouvier, avec ses propres bœufs. « Tous ne sont pas intéressés, mais certains qui venaient pour le cheval s’orientent vers le bœuf, qui leur convient mieux », explique-t-il.

La semaine dernière, c’est donc à onze Espagnols qu’il a enseigné les mots de patois vosgien utilisés pour conduire les deux mastodontes.
Des stagiaires déjà très expérimentés avec les chevaux, qui se destinent en fait eux-mêmes à la formation dans leurs régions.

Comme Jordi Clapes Trivino : son entreprise basée à Barcelone fournit chevaux (il en possède 60), calèches et cochers (quatre salariés) pour les mariages, fêtes traditionnelles et même les enterrements. Alfred Ferris, maraîcher en Andalousie, utilise trois juments et des mules sur son exploitation depuis 26 ans. « Nos techniques et nos outils sont un peu différents, mais c’est intéressant de voir d’autres méthodes, une autre culture, explique-t-il, intrigué par les bœufs. Chez nous, cela a complètement disparu. »

«  Nous voyons ici que notre projet n’est pas farfelu  »

« Nous n’avons pas en Espagne de formation réglementée comme celle-ci, explique Georgina Dieste, secrétaire de la Fédération Espagnole de Thérapie Equestre, qui s’est chargée du séjour du groupe. Nous souhaitons en faire reconnaître une par notre ministère de l’Agriculture. » 
« Nous voyons ici que notre projet n’est pas farfelu, que nous allons dans la bonne direction, poursuit José Sanchez, juge à la Fédération Hippique Espagnole (1). Il y a de la demande en équithérapie et en maraîchage notamment, on est au tout début. »

(1) Et interprète pour les entretiens lors de notre reportage.

Sébastien Kerouanton
Cliquez ici pour voir l’article sur le site de « La Nouvelle République »

Le 1er colloque des bouviers en Ariège a eu lieu le 9 Mars 2014, à Nescus (09), par Solène Gaudin

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Arrivée en haut sur les prairies où est mis le fumier avant l’épandage, pendant la rencontre de bouviers chez Olivier Courtiade.

La journée a commencé par la présentation des personnes présentes, entre autres: Claude Baquié, Pierre Nabos, Lionel Rouanet (jouguiers), Pierre Bonzom, Francis Bazerque, Rémy Dos Reis et son grand-père, Manu Fleurentdidier (formateur traction animale), Olivier Courtiade…. Il y a environ une trentaine de personnes présentes pour cette journée sur la ferme d’Olivier Courtiade.

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C’est en début de journée, on doit être une trentaine (sur la photo, on est moins, tout le monde n’est pas arrivé), le président d’Autrefois le Couserans, Mr Claude Baquié nous explique le déroulement de la journée.

Un film de présentation  du travail et du dressage de boeufs sur la ferme d’Olivier Courtiade est passé ( Envoie le petit!) ainsi qu’un reportage sur le dariolage à travers les régions françaises et le monde. Le visionnage dure jusqu’à l’heure du repas.

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Photo Lionel Rouanet

Le repas fut un moment d’échange entre les participants,(expérience de chacun, anecdotes, chants…)

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Après le repas,  Olivier Courtiade, nous explique les différentes façons de travailler avec les boeufs (collier, …) et pour commencer, il nous explique qu’il utilise le joug de garrot parce que les cornes ne sont pas assez solides pour être liées.

Dans l’après-midi, Olivier Courthiade a fait une démonstration de liage de sa paire de boeufs et de conduite avec une activité sur le transport du fumier puis le travail d’une jeune paire de boeufs au joug de garrot pour le passage d’un bandage de roue sur une prairie.

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Olivier Courtiade met à la charrette sa paire de boeufs gascons.

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Un stagiaire d’Olivier Courtiade amène la charrette de fumier en haut de la colline pour l’épandre sur des champs.

En fin d’après-midi, visite à l’éco-musée d’Azen pour voir la collection de jougs de plusieurs régions de France avec les commentaires d’Olivier Courtiade. 

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Visite à l’éco-musée d’Azen avec Olivier Courtiade et présentation des différents jougs de France

Solène Gaudin

Merci à Solène pour sa participation active et soutenue au site.

Voici quelques images vidéos de la journée.

« la traction animale, une pratique moderne pour une ruralité durable », Mandray (88) 2013

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Karine Huguenot, était présente sur les journées de Mandray en 2013

« La traction animale, une pratique moderne pour une ruralité durable » réalisée par le Parc Naturel Régional des Ballons des Vosges dans le cadre de l’expérimentation participative et délibérative sur le Patrimoine Culturel Immatériel.

 Allez voir la page en cliquant ici

Témoignages de professionnels, de formateurs, de personnes ressources, d’élus et d’habitants et démonstrations de traction chevaline et bovine recueillis lors de la journée de découverte de la traction animale à Mandray le 26 mai 2013.

Cette journée était organisée en partenariat avec la commune de Mandray, les professionnels de la traction animale, l’Institut Français du Cheval et de l’Equitation, des centres de formation et des associations locales. 

Cette action était proposée dans le cadre de l’expérimentation participative et délibérative sur le Patrimoine Culturel Immatériel portée par le Parc Naturel Régional des Ballons des Vosges où un jury-citoyen a sélectionné la pratique de la traction animale présentée par Emmanuel Fleurentdidier, praticien, pour représenter le Patrimoine Culturel Immatériel de la Déodatie.

Stage d’initiation à la traction bovine à Montmorillon (86) du 6 au 10 janvier 2014

Un stage de cinq jours d’initiation à la traction bovine est organisé à Montmorillon. Il sera encadré par Emmanuel Fleurentdidier (cliquez ici pour voir) le formateur en utilisation de chevaux attelés et en traction bovine au lycée agricole de Montmorillon.

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Le stage abordera les divers aspects du ménagement des boeufs d’attelage:

Garnir un boeuf:

  •      Jougs.
  •      Jougs frontaux.
  •      Colliers et harnais.

Maniement et utilisation:

  •      Attelage et charrois.
  •      Travail du sol (si le temps le permet).
  •      Débardage.

Questions diverses.

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Conditions:

Le stage est ouvert à tous.

Les inscriptions doivent être faites avant fin Décembre 2013.

Contact: Emmanuel Fleurentdidier 06 12 25 94 21

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Travaux d’été 2013 chez Emmanuel Fleurentdidier (86), par Solène Gaudin

Quelques travaux sur l’exploitation d’Emmanuel Fleurentdidier.

Mise en place d’un paillage sous tunnel, pour éviter l’enherbement et faire travailler le sol naturellement avant la pose de la bâche. On paille aussi les autres cultures (pommes de terre, choux, poireaux….).

 

Début juillet, paillage d’une parcelle de pommes de terre avec les boeufs attelés à un avant-train et une remorque. Le but de ce paillage est d’éviter la repousse des adventices et de conserver l’humidité du sol. Cela diminue le travail d’entretien de la parcelle.

Mise en place de billons avec la « Kassine », l’outil de Prommata,  pour la plantation de carottes et de choux.

Pour ce travail, un seul boeuf a été nécessaire, attelé au collier avec un harnais et un palonnier.

Formation de Montmorillon, article de « La nouvelle république » de Sébastien Kerouanton

Article du journal « La nouvelle république » de Sébastien Kerouanton, mis en ligne sur leur site le 05/06/2013 (cliquez ici).

Travailler avec des boeufs : ce n’est pas que du folklore

Le CFPPA maintient sa formation à la traction bovine, la seule du genre proposée en France par un établissement relevant de l’Éducation nationale.

Quel est l’intérêt de travailler avec des bœufs ?

Emmanuel Fleurentdidier, formateur. « Par rapport aux chevaux, les bœufs sont plus placides, plus calmes. On peut les laisser à l’arrêt et faire autre chose, ce qui permet de travailler seul. Avec des chevaux, ce n’est pas possible.
Le bœuf est également moins cher : il faut compter 4.000 € pour une paire prête à travailler, soit deux fois moins que des chevaux. Il est moins coûteux à l’entretien, moins fragile, consomme moins de fourrage puisqu’il rumine.
On peut aussi le valoriser en boucherie, ce qui est rarement le cas avec les chevaux, l’attachement n’est pas le même. »

Et par rapport à un tracteur ? Est-ce économiquement réaliste dans une ferme ?

« Oui, comme le montre une étude du CIVAM (1) qui a comparé l’utilisation des bovins et du tracteur.
Tout est question de surface. En dessous de 2 ha, l’investissement dans un tracteur n’est pas forcément justifié. C’est une organisation différente.
A titre personnel, j’utilise des bœufs, des chevaux et j’ai un tracteur. Les bœufs font les trois quarts du travail. Surtout ces dernières semaines, sur les sols détrempés. Les onglons s’enfoncent moins que les sabots des chevaux. »

La technique est-elle appelée à se développer ?

« En ce moment, il y a un boom sur la traction bovine. Un domaine viticole du Bordelais se met à utiliser des bœufs par exemple, et le médiatise. Je suis en contact avec plusieurs anciens élèves qui ont acheté des paires et les utilisent. Certains en ont fait leur principal outil de travail. »

Quel est le profil des élèves de cette formation ?

« Certains veulent se lancer dans l’agriculture ou le débardage. D’autres sont déjà installés, souvent en maraîchage et veulent développer la traction animale sur leurs exploitations. Certains viennent aussi pour préparer des spectacles, des fêtes de village, etc. »

Vous leur parlez dans quelle langue à ces bœufs ?

« C’est du patois vosgien [rire]. Haïe pour avancer, hot pour droite, diha pour gauche, cheu pour reculer, ho pour arrêter. Les mots sont courts, ils percutent mieux que le français. L’utilisation des patois et dialectes est courante en traction animale, c’est un aspect de la conservation de ce patrimoine. »

(1) Centre d’initiatives pour valoriser l’agriculture et le milieu rural.

Sébastien Kerouanton

Découverte de la traction bovine le 24/05/2013 à Montmorillon (86), par Solène Gaudin

Article et photos de Solène Gaudin

Lors d’une séance d’UCAR (Unités Capitalisables d’adaptation régionale faisant partie du module complémentaire du Brevet Professionnel Responsable d’Exploitation Agricole), une vingtaine de stagiaires venus découvrir la traction animale principalement chevaline, a pu découvrir la traction bovine.

Manu Fleurentdidier, formateur en traction animale à Montmorillon, les a initiés à garnir  et à mener une paire de boeufs.


Certaines personnes sont en cours d’installation en traction animale, ce qui leur a permis de réfléchir sur le choix de l’animal (cheval ou boeuf) avec ses avantages et ses inconvénients.

Ils ont pu se rendre compte de l’aisance de travail avec une paire de boeufs et des capacités de ses animaux à réaliser le travail demandé.

Merci à Solène pour se collaboration.

Plantation des pommes de terre chez Jo Durand et Christine ARBEIT (44)

Préparation du sol avec les 2 boeufs et le porte-outils + vibro et rouleau bris-
mottes au Dresny

Jo Durand nous fait parvenir quelques nouvelles photos de la plantation des pommes de terre de la saison 2013. A cette occasion, les stagiares en traction animale du lycée agricole de Montmorillon en voyage pédagogique, étaient présents sur l’exploitation, avec leur formateur, Emmanuel Fleurentdidier.

Les deux boeufs Vosgiens ont travaillé pour cette occasion en solo ou en paire, à la préparation des 25 ares de terrain.

Grâce à l’efficacité de tous, le travail a pris environ 3 heures. Jo et Christine, à eux deux, auraient mis beaucoup plus de temps.

Merci à Jo pour cet envoi.

Billonnage avec l’ânesse en attendant que les boeufs aient fini de préparer le
terrain

Billonnage avec 1 boeuf au collier attelé à la kassine

Sous solage en fond de raie , avant d’y mettre des pommes de terre

 Il ne reste plus qu’à les recouvrir. Pour cela on reprend 1/2 billon de chaque côté
pour en refaire un sur la raie.

Montmorillon, CS UCA 2012/2013, Voyage pédagogique chez les bouviers de l’Ouest de la France, par Solène Gaudin

Voyage pédagogique

Par Solène Gaudin, stagiaire en traction animale au lycée de Montmorillon (86) et Emmanuel Fleurentdidier, formateur. 

Les élèves du CS-UCA (Certificat de Spécialisation-Utilisateurs de Chevaux Attelés) de Montmorillon (86), session 2012 – 2013, sont partis en voyage pédagogique pour la découverte d’exploitations en traction bovine en Loire-Atlantique, chez Jo Durand et Christine Arbeit, ainsi que dans le Finistère, chez Jean-Bernard et Laurence Huon.

Ce voyage a lieu depuis 4 ans sous l’initiative de Manu Fleurentdidier.


Un voyage de trois jours qui a permis à Vincent F, Ludivine, Vincent B, Aline, Solène de découvrir l’utilisation de la traction bovine sur des exploitations en polyculture-élevage.

C’est l’occasion de rencontrer et d’échanger avec des utilisateurs expérimentés et de mieux connaître leur travail. C’est aussi l’occasion pour certains d’entre-eux de trouver dans leur projet, une nouvelle orientation. C’est aussi un moment convivial passé avec Christine, Jo, Mélusine, Samson, Laurence et Jean-Bernard. 

Merci aussi aux boeufs qui ont eu patience des maladresses de nos stagiaires.   

Boeuf et cheval à la journée de découverte de la traction animale dimanche 26 mai 2013 à Mandray (88)

     

 

Le Parc naturel régional des Ballons des Vosges organise, le dimanche 26 mai 2013 à Mandray, une journée de découverte de la traction animale en partenariat avec la commune de Mandray, l’association le Haut-Fer de Mandray, l’Institut Français du Cheval et de l’Equitation, les professionnels de la traction animale dans le cadre de l’expérimentation participative sur le Patrimoine Culturel Immatériel (PCI). 

La nouvelle salle d’exposition du Haut-Fer de Mandray sera également inaugurée à cette occasion.

AU PROGRAMME DE 10H A 17H


Balades en calèche, démonstrations de débardage, de travaux communaux avec cheval et bœuf, présentation de matériel moderne, présence d’un bourrelier, d’un maréchal-ferrant, témoignages, sciage, atelier-famille sur le sol et ses petites bêtes, restauration, marché de produits locaux…

Cet événement bénéficie du soutien financier des Régions Lorraine et Franche-Comté, des Directions Régionales des Affaires Culturelles de Lorraine et de Franche-Comté, du fonds européen de développement régional (FEDER) du Commissariat à l’Aménagement du Massif des Vosges.

Mathilde Doyen

Chargée de mission patrimoine

Parc naturel régional des Ballons des Vosges
Maison du Parc 1 cour de l’abbaye 68140 Munster
Tél. 03 89 77 90 20
Tél. ld 03 89 77 88 82
Fax 03 89 77 90 30
www.parc-ballons-vosges.fr

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Découvrez la traction animale ! 

Dimanche 26 mai 2013 à Mandray Le Parc naturel régional des Ballons des Vosges organise une journée de découverte de la traction animale en partenariat avec la commune de Mandray, l’association le Haut-Fer de Mandray, l’Institut Français du Cheval et de l’Equitation, les professionnels de la traction animale dans le cadre de l’expérimentation participative sur le Patrimoine Culturel Immatériel (PCI).

La nouvelle salle d’exposition du Haut-Fer de Mandray sera également inaugurée à cette occasion.

AU PROGRAMME DE 10H A 17H

Balades en calèche, démonstrations de débardage, de travaux communaux avec cheval et boeuf, présentation de matériel moderne, présence d’un bourrelier, d’un maréchal-ferrant, témoignages, sciage, atelier-famille sur le sol et ses petites bêtes, restauration, marché de produits locaux…

LA TRACTION ANIMALE DANS LE PARC NATUREL REGIONAL DES BALLONS DES VOSGES

Neuf habitants regroupés dans un jury-citoyen ont sélectionné, en juin 2009, parmi 8 autres propositions, la pratique de la traction animale présentée par Emmanuel Fleurentdidier, praticien, pour représenter le Patrimoine Culturel Immatériel du Pays de la Déodatie. (29 communes vosgiennes du Parc des Ballons des Vosges).

Pour les jurés, la traction animale est une pratique héritée (en lien avec le sud du massif vosgien couvert à 60 % de forêts) mais aussi une pratique ancrée dans son temps, en résonance avec le quotidien des habitants.

Pour le Parc, la traction animale est également au service de la gestion durable du territoire :source d’énergie renouvelable, elle est également vecteur de cohésion sociale et de tourisme durable.

Aujourd’hui, une centaine de communes françaises ont recours aux services du cheval : pour l’entretien des espaces verts, arrosage, navettes de ramassage scolaire, circuits touristiques, collecte des déchets.

Le Parc des Ballons des Vosges mobilise collectivités locales, habitants, professionnels, personnes-ressources afin d’élaborer, avec une approche transversale et tournée vers l’avenir, des actions pour valoriser cette pratique en répondant aux enjeux du développement durable.

UNE AVENTURE PARTICIPATIVE SUR LE PATRIMOINE CULTUREL IMMATERIEL (PCI)

En Déodatie et dans les Vosges saônoises, ce programme propose de mettre en application, par une démarche participative, la Convention Unesco 2003 sur le PCI qui élargit la notion de patrimoine aux rites, coutumes, chants, danses et savoir-faire traditionnels.

Elle insiste, également, sur l’implication des habitants dans l’identification et la valorisation de leur patrimoine. Les enjeux consistent à promouvoir la diversité culturelle, favoriser la transmission des patrimoines, contribuer au développement local et au renforcement du lien social.

Cet événement bénéficie du soutien financier des Régions Lorraine et Franche-Comté, des Directions Régionales des Affaires Culturelles de Lorraine et de Franche-Comté, du fonds européen de développement régional (FEDER) du Commissariat à l’Aménagement du Massif des Vosges.

Contacts Isabelle COLIN, Responsable du pôle communication 03 89 77 90 23 – i.colin@parc-ballons-vosges.fr 

Mathilde DOYEN, Chargée de mission patrimoine culturel 03 89 77 88 82 – m.doyen@parc-ballons-vosges.fr

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