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Suite à l’interdiction de travailler en portage avec son bœuf, Gaëtan Dubler chercher un financement pour une réorientation de son travail avec son bœufs (Suisse)

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Pendant six ans le bœuf Léo et moi avons sillonné le canton de Vaud en Suisse à pied, allant de marché en marché afin d’y vendre de la bière artisanale portée dans ses sacoches. Malheureusement, le vétérinaire cantonal nous a interdit de continuer de participer à ces événements, donnant ainsi raison aux végans qui le lui demandaient avec de plus en plus d’insistance.
C’est donc avec une grande tristesse que je suis obligé de refermer cette page de nos existences.
Mon but pour la suite est de pouvoir travailler avec Léo à la traction. Dans ce cadre je propose un projet avec un financement participatif.

Un billet le présentant se trouve en cliquant ici

Article de son Facebook:

Aider le boeuf Léo pour sa nouvelle vie
Pendant six ans le boeuf Léo et moi avons sillonné le canton de Vaud à pied, allant de marché en marché afin d’y vendre de la bière artisanale portée dans ses sacoches. Il est possible, par exemple, de visionner une émission de Passe-moi les Jumelles à https://www.youtube.com/watch?v=728JWDee5d0 ou d’écouter une émission de radio à https://www.rts.ch/…/les-audacieux/audio/gatan-et-leo… sur notre travail.
Malheureusement, le vétérinaire cantonal nous a interdit de continuer de participer à ces événements, donnant ainsi raison aux vegans qui le lui demandaient avec de plus en plus d’insistance.
C’est donc avec une grande tristesse que je suis obligé de refermer cette page de nos existances.
Vu la popularité de Léo, il me paraît important que les personnes qui ont croisé son chemin et ont apprécié ce qu’il a pu leur apporter aient l’opportunité de continuer à avoir un lien avec lui. Ainsi, je propose un projet participatif où il sera possible de l’aider pour sa nouvelle vie.
Il est également entraîné à la traction avec un collier bernois. J’aimerais lui apprendre à labourer, herser et tirer une charette afin qu’il ait la possibilité de continuer de contribuer aux activités des hommes, comme ses ancêtres l’on fait depuis des milliers d’années en échange de bon foin et d’une litière confortable en hiver. Ceci se ferait dans le cadre d’une remise en place de ma production de nourriture. Celle-ci est réalisée d’une façon respectueuse de la nature, sans aucune utilisation de produits chimiques.
Les personnes intéressées à soutenir le projet reçoivent les contreparties suivantes :
10 CHF: Je vous envoie des nouvelles de Léo ainsi que de l’avancement du projet avec des photographies par courriel.
50 CHF: La même contrepartie et en plus la possibilité de participer à un pique-nique avec Léo dans la région de Cossonay.
200 CHF: Les contreparties précédentes et en plus nous passons avec Léo chez vous ou un endroit de votre choix et vous apportons un paquet de quatre bières artisanales de la brasserie de Penthalaz suivant vos préférences. (La livraison peut se faire dans un rayon d’environ 20 km autour de Cossonay. Sinon un rendez-vous est fixé ailleurs ou pour les personnes plus éloignées, il est possible d’envoyer les bières. Dans ce cas elles sont transportées de la brasserie à la ferme avec Léo).
300 CHF: Les mêmes contreparties que précédemment mais nous apportons un carton de six bières.
400 CHF: Les mêmes contreparties que précédemment mais nous apportons une caisse – 24 bières -.
2000 CHF: Les mêmes contreparties que précédemment mais nous passons une fois par année pour amener une caisse – pour une période de six ans ou jusqu’au moment où Léo prendra sa retraite – .
Si vous désirez nous soutenir, il est possible de le faire avec Twint (mon numéro est le (078) 909 79 27) ou le compte:
IBAN (format électronique) CH6200767000U51829769
IBAN (format papier)
IBAN CH62 00767 000U 5182 9769
________________________________________
Adresse bancaire
Banque Cantonale Vaudoise
Place St-François 14, CP 300
1002 Lausanne
Clearing National
767
SWIFT/BIC
BCVLCH2LXXX
CCP
10-725-4
Merci de mentionner une adresse courriel ou un numéro de téléphone afin qu’il me soit possible de vous contacter relativement aux contreparties.
Un grand merci pour votre aide.
Gaëtan Dübler
Tél. : (078) 909 79 27
Courriel: dubler.gaetan@gmail.com

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Traction bovine au Château Corbin Michotte, Maison Boidron

Au Château Corbin Michotte, Saint-Emilion Grand Cru, la Maison Boidron remet en pratique depuis 3 ans le travail des vignes avec des bœufs de traction.

Journées d’échanges PROMMATA 2021, anniversaire des 30 ans

 

SAISON 2022 DE LA FERME À L’ANCIENNE CHEZ MARYSE ET MICHEL BERNE, BOURG ARGENTAL (42)

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La ferme à l’ancienne ouvrira les portes de son musée cette année: 

  •     Du 10 juillet au 10 août tous les jours sauf dimanches, de 15h00 à17h30
  •     Du 20 août au 5 septembre tous les jours sauf dimanches, de 15h00 à17h30

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Formation à la traction bovine aux guides et au collier chez Pascal Durand 26, 27 et 28 Août 2022, Gentioux Pigerolles (23)

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Nous proposons une formation sur l’approche du travail avec un bovin aux guides (de derrière) et au collier.
Je propose cette formation dans le cadre de l’association Prommata , ce qui permet dans certains cas la prise en charge par certains financements de formation.
Avec mon père Jo Durand nous souhaitons proposer les bases et ,une méthodologie pour aborder le travail en solo avec un bovin. Nous proposons de la pratique avec des vaches adultes habituées au travail ainsi qu’avec des jeunes en cours de dressage.
La vache fait des légumes , en plus d’un veau, et du lait!
Pour des questions de confort de l’animal au travail je préfère largement le collier au joug celui-ci permet une meilleure position dans l’effort. D’autre part celui-ci optimise la puissance de l’animal, il travaille plus avec moins d’efforts!
Renseignements: pasdurand23@gmail.com

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Vous pouvez consulter et télécharger le catalogue de formation de chez PROMMATA: fichier pdf Catalogue formation prommata 2022-1
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Le manuel d’attelage bovin de Philippe Kuhlmann, Soultzeren (68)

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Le « Manuel d’attelage bovin » de Philippe Kuhlmann (Cliquez ici pour voir les articles du blog  où il est cité) consacré à l’élevage, au dressage et au menage des bœufs de travail est enfin sorti après de longues années d’élaboration.
C’est un ouvrage qui fera date et qui rassemble le savoir et les données de plus de quarante années d’expérience de travail avec les bovins d’attelage.
C’est aussi l’aboutissement d’une volonté farouche et permanente de transmettre qui, outre le travail de formation des jeunes sur le terrain au cul des bêtes, laissera une trace écrite sur la pratique agricole des bœufs de travail à la fin du vingtième siècle/début du vingt unième siècle.
Vous pouvez l’obtenir en envoyant votre demande directement à l’auteur et le règlement de 24 euros pour le livre + 8 euros de frais d’envoi :
Monsieur Philippe Kuhlmann
Chemin DU LONDENBACH
68140 SOULTZEREN
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Vaches coiffées, un livre de Lionel Rouanet, réservation dès aujourd’hui de l’ouvrage pour une sortie fin d’année 2022

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Vaches coiffées et autres histoires de derrière les fagots, va voir le jour !
Les finitions, la mise en page seront achevées dans l’été, le livre devrait partir pour l’impression en octobre et sera dispo selon toute probabilité pour la fin de cette année.
Trouvez ci-après le bon de réservation et de description au format pdf (Cliquez dessus).fichier pdf Bon de réservation pour Vaches coiffées
Cette « campagne de réservation » a pour but de permettre à l’éditeur de définir le nombre de tirages.
Ensuite, selon son souhait, viendra peut-être une souscription.
Si vous êtes intéressés, merci de me le signaler par retour de courriel.

N’hésitez pas de faire circuler l’info, par bouche à oreille, pigeon voyageur, malle poste et bien sûr moyens de communication contemporains … !

Lionel.
Contact: rouanetlionel@hotmail.com

Les jeunes de l’académie des bouviers du Puy du Fou en journée de découverte/formation à la taille des jougs chez Michel Nioulou, Charnay-lès-Mâcon (71)

malgré la fatigue la satisfaction est sur les visages

Jougtiers, la relève arrive…

Vendredi 27 Mai 2022 au matin, Charnay-lès-Mâcon, sept heure trente, sept Jeunes de l’Académie des Bouviers du Puy du Fou arrivent les bras chargés de brioches Vendéennes, de pain frais et de viennoiseries pour un petit déjeuner copieux chez nous.

Lionel Rapin, l’encadrant du groupe, m’avait dit, tu fais juste le café, on amène le reste !

Ce matin là, Véronique mon épouse et moi même accueillons sept passionnés de bovins et de traction bovine.

Sur la route de l’Alsace pour se rendre aux quatre journées «  Les bovins d’abord » organisées par Philippe Kuhlmann à Soultzeren et au Valtin pendant le long pont de L’ascension, les jeunes Vendéens profitent de leur déplacement loin de leur région pour s’arrêter chez nous et consacrer une journée complète à la découverte de la taille de deux jougs Vendéens.

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Dès huit heures passées, les forces emmagasinées pour la matinée, nous nous dirigeons vers le bac où trempent depuis trois ans des billes de hêtre. Nous choisissons les deux meilleures en prenant en compte tous les critères de qualité nécessaires à la réalisation de deux jougs sans défauts de bois.

Les billes de hêtre sont sorties de l'eau

La première chose qui surprend les jeunes stagiaires est le poids conséquent des pièces pourtant de sections raisonnables de treize par quinze centimètres et d’un mètre soixante dix de long. Elles sont immergées depuis leur abattage pour qu’elles restent tendres lors de leur taille. Leur séjour prolongé dans le bac les a bien sûr saturées en eau. Depuis au moins deux ans, le bois est « coulé », c’est-à-dire qu’il n’a plus besoin d’être chargé de poids pour rester immergé. Ils peuvent ainsi rester des dizaines années sous l’eau sans s’altérer.

 la journée va débuter

On dépose les deux futurs jougs sur le chantier éphémère installé au milieu du jardin.

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Nous sommes en pleine ville et pourtant, fondus dans la végétation et sous des toiles tendues qui nous tiennent au frais, nous allons vivre une journée de travail qui restera mémorable tant pour l’ambiance très conviviale qui c’est installée dès le matin que par l’essence même de cette rencontre :apprendre à tailler des jougs en 2022 et transmettre un savoir-faire dont l’avenir reste précaire.

haches et herminettes sont à disposition

On sort les gabarits et nous décidons de tracer deux jougs de tailles différentes. Le tracé terminé, les axes repérés, nous entamons la taille de dégrossi.

premiers coups de haches pour Julien et Corentin

Au début, les gestes sont hésitants. Peu de gens, qui plus est des personnes jeunes, ont encore l’usage régulier de la hache et encore moins de l’herminette. Mais au fil de la journée, à force de conseils et par la confiance acquise progressivement par chacun dans l’usage des outils, le geste devient meilleur et plus précis.

On commence par l’évidement des têtières, le travail est physique, la hache tombe avec force et les copeaux volent. Je leur conseille de s’économiser, d’avoir des gestes réfléchis et de ne pas travailler en force mais plutôt en souplesse avec les jambes fléchies.

sous l'oeil du chef

sept Vendéens au travail en Bourgogne

Benjamin et Lionel chacun sa technique

Xavier et Benjamin

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on reprend quelques repères

Mais l’enthousiasme est tel que nos jeunes qui travaillent à trois ou quatre par joug en se relayant, restent très dynamiques et rapidement les quatre voûtes de têtière des deux jougs sont creusées.

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Après un nouveau petit casse-croûte vers neuf heure trente (la Vendée et la Bourgogne ont la réputation de bien se tenir à table!!), nous attaquons le dégagement de l’arrière des têtières. La pièce commence à ressembler à un joug. Tous se réjouissent de voir apparaître progressivement la forme de l’objet qu’ils utilisent chaque semaine avec les paires de bœufs qu’ils attellent ou qu’ils côtoient. Ils prennent aussi conscience de l’investissement physique nécessaire à la réalisation d’un objet qu’on peut parfois considérer comme bien banal.

on dégage l'arrière des têtières, le joug commence à apparaitre

calage du joug pour travailler au bon angle

Je veille à ce que la taille des deux pièces avance à la même vitesse. Je prends aussi parfois la hache ou l’herminette pour rattraper un petit retard et parfois montrer à nouveau les gestes.

Michel Nioulou montre le geste avec une grande herminette

A midi, après avoir remis les pièces dans l’eau, la pause est la bienvenue.

à midi on remet les jougs à l'eau

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Un repas Mâconnais préparé par Véronique avec saucisson à cuire, pommes de terre et gaufrettes Mâconnaises est plutôt apprécié. Le repas est un moment de partage, on parle, on rit, on échange. Je sens avec moi un groupe uni où chacun paraît toujours très motivé par le projet malgré le côté physique de la taille.

petit souvenir

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le repas de midi avec la forêt de petits plans de frênes

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Nous avions préparé un petit cadeau, en l’occurrence un petit plant de frêne à planter symbolisant en partie l’avenir de la planète, mais aussi des futures billes de bois dans lesquelles pourront se tailler des jougs : pas d’arbres, pas de jougs !!! Y était joint un petit porte-clef de cuir en forme de vache réalisé par une amie.

La symbolique de l’avenir du climat ainsi que l’avenir de la taille des jougs en passant par un arbre à planter me semblaient importants. La lenteur de la pousse d’un arbre, le temps nécessaire à la réalisation d’un joug, le pas lent des bœufs, tout se rejoint !!

Le départ pour l’Alsace est prévu à dix-sept heures, le temps est compté !!

Nous ne finirons pas les jougs c’est sûr, mais nous allons tout faire pour bien les avancer. En effet, Christine Arbeit, co-organisatrice de la rencontre en Alsace, a demandé à ce que l’équipe présente le travail réalisé au cours de cette journée de taille lors d’une intervention le samedi au Valtin.

La journée ici en Saône-et-Loire est un peu un événement décentralisé des rencontres Alsaciennes, car Véronique et moi ne pouvions pas être présent dans la haute vallée de Münster cette année.

tombée des oreilles à la grande herminette

Benjamin commence à tailler la piotte

Chacun se remet donc au travail pour avancer la taille, on tombe les oreilles, on taille la piotte (le corps central du joug). En fin de journée, je montre rapidement quelques étapes suivantes mais, du fait du temps trop restreint à la maison, à leur retour en Vendée, les jeunes devront finir seuls avec l’appui d’un document écrit que je leur ai communiqué avant même leur venue. Ils seront aussi aidés par les sept vidéos de la taille d’un joug Vendéen de A à Z, qui sont en ligne sur le site « Attelages Bovins d’Aujourd’hui » (cliquez ici pour voir).

On enveloppe les deux jougs humides dans une bâche et l’équipe recharge le camion avant de reprendre la route pour Soultzeren et rejoindre l’Alsace et la rencontre « les Bovins d’abord ».

Fin d’un moment rare !!

Parmi Benjamin, Corentin, Hugo, Julien, Léonie, Lionel et Xavier se trouvent peut-être le ou les futurs passeurs du geste. Leur implication et leur engagement se ressent dès les premiers contacts.

Même si la bonne humeur et les blagues fusent sans décesser, l’objectif du projet n’est jamais perdu de vue et le découragement jamais de mise. L’humour n’a jamais freiné le travail et la journée a été très constructive. Leur détermination dans leurs projets autour des bovins d’attelage me paraît rassurante.

A ma connaissance, depuis les disparitions ces dernières années de René Alibert, Pierre Mougin et Marius Saint Léger, il n’y a plus d’anciens jougtiers « de tradition ». Depuis 2005, nous sommes trois à avoir repris la fabrication des jougs de travail : Lionel Rouanet dans les Pyrénées, Gilles Péquiniot en Alsace et moi-même en Bourgogne. Lionel est le plus jeune, Gilles et moi-même approchons la soixantaine, il faut absolument que des jeunes reprennent le flambeau. Lionel a déjà eu quelques stagiaires et moi les sept de cette journée. Je suis bien sûr prêt à réitérer l’opération.

L’avenir de la fabrication des jougs est peut-être en partie passé par Charnay-lès-Mâcon ce 27 Mai 2022 et, sans vanité aucune, j’en suis très heureux et rassuré.

Merci les jeunes, ces moments de partage ont été forts !!

Michel Nioulou

team bouviers jougtiers

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on se concentre sur les explications

côté Corentin la têtière est déjà bien évidée

Hugo et Corentin appliqués et concentrés

le chantier bien à l'ombre va attaquer

Léonnie passionnée de photo et bouvière a pris de nombreux clichés au cours de la journée

Attelage de bovins Chez Jean-luc Guerringue, Rantechaux (25)

Parution du livre « Jean le dernier paysan face aux Pyrénées » de Jean Paul Abadie

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Le nouvel ouvrage de Jean-Paul Abadie qui vient de paraître ‘’Jean le dernier paysan face aux Pyrénées’’  est un  témoignage ethnographique comme on en faisait avant et qui tend ici vers l’anthropologie. Ces sciences que la superficialité  de notre société a rendues presque désuètes. C’est fort dommage car il reste toujours des sujets et des domaines à explorer et à transmettre. 

Le sujet traite des derniers paysans, mais pas seulement. L’ouvrage retrace l’histoire de Jean Noël Dussenty  dont les ancêtres venus du Volvestre (région située aux confins de l’Ariège et de la Haute-Garonne)  à la fin du XIXème siècle, migrèrent jusqu’au pied des Pyrénées à Bazordan, village situé au Nord Est des Hautes-Pyrénées.                                                                         

Dès le plus jeune âge, la vie rude et agreste fait de Jean un vrai paysan. Une vie simple, d’homme libre et travailleur, qui va s’éteindre à l’âge de soixante-seize ans dans le petit village de Campistrous, face aux Pyrénées, où il s’était marié.

Jean et son épouse Marie, sont les derniers habitants de ce petit village pyrénéen du Plateau de Lannemezan à avoir mené jusqu’au bout la vie de paysans. Travaillant comme l’ont toujours fait leurs ancêtres avec un attelage de vaches Gasconnes des Pyrénées, vivant en quasi autarcie, ils ont contribué à maintenir leur petite propriété familiale, seul héritage légué par les aïeux. Une fois eux disparus, le paysage qu’ils entretenaient changera totalement.

Un ouvrage dans lequel on parle de paysans, de vaches Gasconnes des Pyrénées, de respect de la nature, de relations humaines, d’adaptation au modernisme, de passé, de présent et aussi d’espoirs d’avenir.

En information complémentaire:

Entretien avec Jean-Paul Abadie pour son livre « Jean, le dernier paysan, face aux Pyrénées » | Fréquence Luzen cliquant ici.

Parution: Octobre 202, 153 pages, EAN : 9782913781986

Ce passionnant livre est en auto édition. Pour vous le procurer, contactez directement l’auteur:

06.83.87.01.57 ou courriel  jeanpaul.abadie@gmail.com.

Jean le dernier paysan face aux Pyrénées - La 4 ème de couv.

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