Aller au contenu

Attelages Bovins d'Aujourd'hui

Techniques et actualités des attelages de bovins

  • Le blog : Attelages Bovins d’Aujourd’hui
  • Carte du recensement
  • Tous les articles
  • Bouviers d’aujourd’hui
    • Bouviers
    • Les bovins attelés dans les fermes aujourd’hui
    • Techniques
    • Liages
    • Parcours
    • Réflexions
  • Infos & annonces
    • Dans l’actualité
    • Le coin des annonces
    • Salons, fêtes, animations, démonstrations, spectacles
    • Formations
    • Fournitures et accessoires
    • Calendrier des manifestations
    • Ailleurs…
  • Ressources documentaires et archives
    • Archives, documentation, photothèque…
    • Artisanat et artisans
    • Bouviers anciens
    • Librairie, DVD
    • Patrimoine
    • Photographes, vidéastes
    • Publications internet
    • Travaux
      • Débardage
      • Foin
      • Hersage
      • Labours
  • Nous contacter
    • Nous contacter
    • Liens utiles

Afficher plus de résultats...

Generic selectors
Correspondances exactes
Rechercher dans le titre
Rechercher dans le contenu
Post Type Selectors

Articles récents

  • Reportage photo de Léonnie Biteau lors de la Rencontre des bouvières et bouviers en Creuse (23) 2024 28/11/2025
  • Allemagne : Épreuve d’aptitude et de performance de traction pour bovins 8-9 novembre 2025 21/11/2025
  • « Le point sur les harnais pour la traction animal » ouvrage de Thierry Duchenne (GRDR), Gret 14/11/2025
  • Facebook

Nombre de visiteurs depuis septembre 2025

3541

Étiquette : 29 Finistere

JEAN-BERNARD HUON, LA LIBERTÉ D’UN PAYSAN EN RÉSISTANCE, article du site de la revue ArMen.

fête 2018 de la vache Nantaise (107)

Retrouvez Jean-Bernard Huon dans un bel article sur le site de la revue ArMen en cliquant ici.

Merci à eux pour leur travail et à Cozette Griffin Kramer pour nous avoir indiqué cet article.

Retrouver tous les articles du site de ArtMen en cliquant ici.

fête 2018 de la vache Nantaise (120)

fête 2018 de la vache Nantaise (111)

Voici l’article : 

Jean-Bernard Huon , frankiz ur peizant stourmer

Écrit parRonan mars 15, 2020

Traduction de l’article en breton que vous retrouverez dans votre exemplaire papier d’ArMen n° 235

Jean-Bernard Huon, la liberté d’un paysan en résistance

Il a choisi de rester au pays avec huit vaches et des chevaux de trait d’abord, qu’il a remplacés par des bœufs depuis une dizaine d’années. Il a décidé de tourner le dos dans les années 1970 à ce que l’on n’appelait pas encore l’agrobusiness et les pesticides. Ses collègues exploitants agricoles se sont moqués de lui, mais il en aurait fallu plus pour décourager un « penn kalet » (tête dure) comme lui. Portrait d’un homme drôle, debout, toujours prêt à échanger et à transmettre.

La ferme de Penn Prat, à Riec-sur-Belon

 En 1904, les arrière-grands-parents de Jean-Bernard Huon déménagent. Ils quittent Kerandres à Moëlan pour se rendre à Penn Prat, à Riec. En riant (et il rit tout le temps), Jean-Bernard raconte :

« Ma grand-mère paternelle était née à Kerandrège, mais la famille de ma mère était de Sainte Marguerite, dans le quartier de Penn Prat. On se moquait de mes parents, et on regardait sous le ruban de la coiffe de ma mère en disant :  « Les gens de Moëlan n’ont une oreille que d’un côté », et les gens de Moëlan se moquaient aussi : « Les gars de Rieg, trois morceaux de pain, trois morceaux de viande » ou encore « Les gars de Riec remontent leurs pantalons jusqu’au menton ».

Et Jean-Bernard de rire à nouveau. Dans la ferme de ses parents, beaucoup de monde à travailler et de nombreuses machines : pressoir, manège, moissonneuse, faucheuse, lieuse, tous les outils nécessaires à broyer les pommes, les betteraves, presser le cidre, récolter paille, blé, foin… Mais petit à petit, la ferme s’est vidée. Et Jean-Bernard a continué, obstinément, à travailler sa terre, comme le faisaient ses grands-parents : avec des chevaux, sans tracteur ni traites à payer au Crédit Agricole. Cela ne le concernait pas. Devant les caméras, il dit souvent : « je suis un homme libre ».

De la graine à la crêpe

Ici on produit tout : avec les pommes, on fait du cidre (un bâtiment est entièrement consacré aux barriques et aux bouteilles) avec un pressoir du Pays Gallo qui pourra encore presser pendant cent ans. Avec les betteraves, on donne à manger aux cochons, aux bœufs, aux vaches. Laurence, venue seconder Jean-Bernard alors qu’elle était secrétaire lors d’un stage il y a quarante ans, est restée. Avec le lait des vaches Pie noir, elle a appris à faire du beurre selon la technique de la mère de Jean-Bernard. C’est elle maintenant la chef d’exploitation. Elle a aussi appris à cuire les crêpes directement sur le feu de bois, et certaines années, le blé noir et le froment viennent des champs de Penn Prat. Elle ne cesse jamais de travailler, et passe et repasse avec sa brouette pour prendre de la paille pour la litière, de la nourriture pour les chèvres, les bœufs, traire les vaches… Où aujourd’hui en Bretagne peut-on encore voir des personnes travailler de la sorte ? Pour certains, c’est « la misère », les souvenirs d’une Bretagne révolue qui doit tourner la page… Et si c’était une autre façon de voir le monde d’aujourd’hui, qui devient fou ? Et si c’était une façon de montrer aux jeunes générations qu’il existe un autre mode de vie ? Quand il y a sur tout le territoire breton des fermes-usines, les gens comme eux ont-ils encore une place ? Et si c’était eux qui avaient raison ?

Que de visiteurs à Penn Prat !

Car Jean-Bernard n’est pas tellement tourné vers l’ancien temps. Il aime transmettre, recevoir des jeunes, parler breton et travailler avec eux. Sinon, il appelle les « debrerien stago », les mangeurs attachés comme dans l’étable, ceux qui restent à manger des crêpes et à boire du cidre. Depuis quarante ans, il accueille un rassemblement de motards. Ils étaient bénis par le curé auparavant. Maintenant, c’est lui qui s’en charge, sur la place de Riec, avec un rameau de buis.

Pardons, fêtes estivales, crèches vivantes … Les bœufs, et avant les chevaux de Jean-Bernard sont très présents, ils apparaissent sur les photos du journal hiver comme été. Le cadre de Penn Prat est aussi utilisé pour des courts métrages ou encore pour le long film documentaire de René Duranton, tourné en 2010,  qui a suivi les travaux des champs pendant quelques mois.

Comme pour la ferme du Bec Hellouin à côté de Paris, le chemin qui est montré ici est tout sauf passéiste. Un patrimoine vivant, jusque dans les noms de tous les objets utilisés pour les attelages tels la « brid mouch  » (les œillères), le cheval de tête, qui mène les autres chevaux, le collier de paille pour les jeunes chevaux, la « stern gamb », plus longue, qu’on met devant pour atteler…

Transmettre le travail de la terre… en breton

Jean-Bernard a toujours parlé breton avec ses grands parents, grand-père et grand-mère, mais pas avec ses parents qui avaient peur qu’il ne soit pas « débrouillé » en français.

Je m’en souviendrai toujours », dit-il, « de la fois où on a commencé, mon père était mort, je suis allé voir ma grand-mère, j’ai usé ma chemise. Elle m’a expliqué comment mettre tout le harnachement pour les chevaux. Depuis que j’étais né, j’avais vu faire, mais cela n’a pas été facile pour moi de commencer aussi vite. Belly et Paulette ont été mes premières juments. Belly était une jument très douce, je n’ai jamais eu une jument si douce. Mais Paulette était très peureuse. J’ai vu le tracteur arriver dans les années 1955/60. Et les chevaux ont changé aussi, ils étaient plus lourds, les chevaux, c’étaient des bidets avant. Quand les « haras nationaux » sont arrivés à Hennebont, on a eu des postiers bretons. Riec n’était pas une station de concours, et les meilleurs chevaux allaient à Bannalec. Eux, ils avaient de bons chevaux, issus de l’étalon « Gerfaud ». Ici, on avait des étalons peureux souvent. Paulette, quand on l’envoyait à l’étalon, tous ses poulains étaient peureux, et l’étalon était un peureux aussi… »

Pour relier la langue bretonne au travail de la terre, allez travailler à Penn Prat !

Un peu comme dans la ferme d’Anjela Duval après l’émission « Les conteurs », il arrive à Penn Prat des gens de toute la France, d’Europe même, pour une simple visite ou pour vivre là pendant trois mois ou plus. Vincent est l’un d’eux. En ce mois de janvier 2020, il conduit les bœufs, aide aux travaux des champs et reste dormir à la ferme, échangeant contre son labeur l’apprentissage de tout le savoir-faire de la ferme. Comment il a appris son existence ? Par Internet, sur You Tube, par une vidéo de quelques minutes, visionnée plus de 325 000 fois.

Les jeunes qui ont envie d’apprendre, bretonnants pour certains, sont toujours bien accueillis avec un coup de cidre ou du jus de pomme. « Apportez avec vous un bout de gâteau ou un plat que vous avez cuisiné ». Et le plus important : amener des outils pour travailler la terre, enlever les rumex (choux de cochons : kaol-moc’h) du champ dans lequel on va semer du blé, pour étaler le fumier sur les champs afin de récolter les pommes de terre quatre mois plus tard. Parler breton, vous pourrez le faire aussi, et vous serez toujours les bienvenus si vous travaillez avec Jean-Bernard en riant aux formules rimées et impertinentes des gens de Riec…

Revue n°235

Texte: Fanny Fanny Chauffin
Photographies: Éric Legret

Publications similaires

  • Jean Bernard Huon, Riec-sur-Belon (29)
  • Fête de la Vache Nantaise 2018, attelage des boeufs de Jean-Bernard Huon, Le Dresny (44)
  • Voyage 2014 « Découverte traction bovine » des stagiaires du CS utilisateurs de chevaux attelés du Lycée agricole de Montmorillon (86) chez Jo Durand (44) et Jean-Bernard Huon (29)
Publié le 18/12/202116/10/2025Auteur Michel NIOULOUCatégories Bouviers, Dans l'actualité, Les bovins attelés dans les fermes aujourd'hui, Publications internetMots-clés 2020, 29 Finistere, Cozette GRIFFIN KREMER, Jean-Bernard HUON, Journal, TemoignageLaisser un commentaire sur JEAN-BERNARD HUON, LA LIBERTÉ D’UN PAYSAN EN RÉSISTANCE, article du site de la revue ArMen.

Anicet Furic, Bannalec (29)

IMG_8041_recadrée-001

Anicet Furic travaille avec deux boeufs Pie rouge des plaines. Son fils Sébastien travaille une vache Holstein croisée Limousine dressée au collier. Voici quelques photo de Paco un des boeufs d’Anicet Furic, à la fête du cheval du Faouet (56) en attendant plus d’information sur leur travail avec les animaux.

___________________

Voir aussi cet article de Ouest France en cliquant ici.

photo ouest france anicet furic

Photo Ouest France issue de l’article 

« Anicet Furic, ancien producteur de lait, éduque aujourd’hui deux bœufs d’attelage. Une relation rare, qui a ému la vétérinaire de garde, Caroline Ménard, un soir de fièvre. Cela s’est passé à Bannalec, une commune du pays de Quimperlé.

La piqûre de tique aurait pu être mortelle, pour le jeune Pako. Ce jour-là, Pako est abattu. Il ne répond plus aux caresses, ne renifle plus son homme.

« C’était louche. Cela ne lui ressemble pas », se rappelle Anicet Furic.

L’éleveur de Bannalec connaît la bête. Il connaît Pako comme s’il l’avait fait.

Comme tout veau né dans la ferme laitière d’Anicet Furic, le colostrum de sa mère génisse doit être ingurgité, au forcing s’il le faut. Question de vie.

Du coup, aussi insolite que cela puisse paraître, il existe une caméra de surveillance au-dessus de la salle de vêlage depuis les années 80, dans cette exploitation.

« J’ai toujours vérifié les tétées depuis mon lit », confie le retraité d’un œil qui pétille.

Infirmerie sur mesure

Mais la relation d’Anicet Furic avec ses bœufs est sans commune mesure.

« Ce qui se passe avec mes bœufs est de loin la plus belle chose qui me soit arrivée dans ma carrière », sourit-il, du haut de 55 ans de labeur fermier.

Ses chouchous ne sont « ni dressés, ni débourrés, ah non ! » Anicet Furic « éduque » ses bêtes. Anicet Furic les dorlote et les cajole.

Ce jour-là, le crépuscule offre encore quelques lueurs dans la grange, quand le docteur vétérinaire, Caroline Ménard, de la clinique de l’Isole, intervient à Kergleuden.

« Je n’ai jamais rien vu de tel, s’étonne la professionnelle. Non seulement cet éleveur entretient une véritable relation avec son mini-cheptel, mais il a confectionné une infirmerie sur-mesure, (avec poulies, cordages, appui-tête et cales manipulables à distance). La prise en charge est pensée dans les moindres détails, pour que ses animaux ne souffrent pas des manipulations durant les soins. Du coup, Pako était des plus sereins et confiants. » Et cela a facilité le travail de la vétérinaire.

« Bonne nuit Pako »

Et le docteur a soigné Pako. « Et le docteur a soufflé à l’animal qu’il allait passer une bonne nuit avec ça. » Cette histoire aussi courte que douce, Anicet Furic l’a racontée à tort et à travers dans le village.

« Vous vous rendez compte ? Un vétérinaire qui souhaite une bonne nuit à Pako ! Elle a parlé à mon Pako avec le cœur, et ce qu’elle ne savait pas, c’est que j’allais moi aussi pouvoir faire de beaux rêves. »

Chez Anicet Furic, les bœufs broutent bio, mangent du foin et de l’herbe si purs, qu’il s’en échappe des effluves de tisane. « De temps à autre, je leur offre de la farine. Ils l’attendent comme un festin. »

Le paysan leur parle breton, comme d’autres dressent en allemand. Des langues aux sons et intonations des plus articulés, nets, secs, qui favorisent la compréhension, et consolident indéniablement la relation.

Naturellement, lors des fêtes des Vieux métiers, le public est vert de voir ces bœufs d’attelage menés en file comme des chevaux. C’est rarissime.

Choupi et Pako se suivent et font de beaux demi-tours à la façon d’un canasson.

Et si, au rang des avantages, le bœuf développe 25 % de puissance supplémentaire avec le collier par rapport au joug, il est encore question de confort pour l’animal. »

IMG_8058_recadrée-001

Publications similaires

  • Hélène et Amaury Beaudoin et Sophie Lambertyn, VILLERS SUR AUCHY (60)
  • Jérome de Juriew, travail de la vigne avec un boeuf au collier en Champagne, article publié dans l’Union
  • Brice Letissier,Challes les Eaux (73)
Publié le 17/12/201816/10/2025Auteur Michel NIOULOUCatégories BouviersMots-clés 29 Finistere, Bovin au collier, Bovin aux guides, Journal, Photo, Race croisé, Race rouge des présUn commentaire sur Anicet Furic, Bannalec (29)

Fête de la Vache Nantaise 2018, attelage des boeufs de Jean-Bernard Huon, Le Dresny (44)

Voici une vidéo de Jean-Bernard Huon, paysan en traction animale depuis toujours à Riec-sur-Belon (29), a travaillé avec ses deux paires de boeufs Pie-Noire-Breton et Nantais pendant les trois jours de La fête de la vache Nantaise au Dresny (44) les 7/8/9 septembre 2018.

Publications similaires

  • Fête de la vache Nantaise, pôle traction animale, le Dresny, 7, 8 et 9 septembre 2018
  • Fête de la vache Nantaise 2018, grande attelée de cinq paires de bovins, Le Dresny (44)
  • Taille d’un joug par Lionel Rouanet au pôle traction animale de la Fête de la Vache Nantaise, septembre 2018, Le Dresny (44)
Publié le 15/11/201822/10/2025Auteur Michel NIOULOUCatégories Bouviers, Dans l'actualité, LiagesMots-clés 2018, 29 Finistere, 44 Loire Atlantique, Fete de la vache nantaise, Jean-Bernard HUON, Liage et harnachement, Race bretonne pie noire, Race nantaise, Travail du sol, VideoLaisser un commentaire sur Fête de la Vache Nantaise 2018, attelage des boeufs de Jean-Bernard Huon, Le Dresny (44)

Fête de la vache Nantaise, pôle traction animale, le Dresny, 7, 8 et 9 septembre 2018

fête vache nantaise, jean bernard huon ok

 Jean-Bernard Huon de Riec-sur-Belon (29) avec ses boeufs Nantais (photo Lionel Rouanet)

Fête de la Vache nantaise
Les 7, 8 et 9 septembre 2018 au Dresny, Plessé

Grande manifestation paysanne, populaire et gratuite, la Fête de la vache nantaise est l’incontournable rendez-vous national des races domestiques locales en agriculture paysanne, elle attend 50 000 visiteurs.

Dans un esprit festif et convivial, la Fête réunit depuis 1997 des intervenants appartenant au monde agricole, associatif ou de l’entreprise. Elle est un carrefour de rencontres entre les consommateurs et le monde paysan.

Aujourd’hui, elle met en lumière la viabilité économique et écologique des installations en races locales et elle démontre leur intégration au sein de l’économie de proximité des territoires sur lesquels elles sont implantées.

Organisée autour de 3 villages (Races locales, Initiatives solidaires et invité d’honneur) elle traite d’enjeux sociétaux de manière globale et cohérente, en réaffirmant que les citoyens et consommateurs peuvent être acteurs de projets de société.

Pour sa 8ème édition, la Fête a l’honneur d’accueillir le Porc Basque et sa région, l’occasion de découvrir les nombreuses initiatives développées sur ce territoire.

Le village Races locales sera organisé en 5 pôles :

     1. Les conservatoires régionaux et leurs races locales
     2. Le Théâtre des saveurs, lieu de démonstration pour la valorisation des produits
     3. La Maison de l’Installation, lieu d’échange pour créer les conditions de dialogue
entre les différents acteurs de l’installation et les éleveurs
     4. Le pôle Relation Homme/Animal
     5. La Traction animale : rendez-vous national de tous les acteurs pour favoriser son développement et démontrer au grand public la modernité de cette activité. Lieu de valorisation des races locales par le travail, la traction animale est ici présentée comme une activité professionnelle tournée vers l’avenir qui propose des techniques et du matériel innovants et performants.

     – Stands de présentation du matériel
     – Espace de démonstration ( maraîchage, travail de la vigne et débardage)
     – Week end de rencontre entre professionnels (présence de l’Eco-Musée
     d’Alsace, de l’Atelier Paysan et de jougtiers).
     – Animaux représentés : Bovins, Chevaux, Mulets et Anes

Association « Pas bête la Fête »

– Le Clos, Le Dresny 44630 Plessé Tel. 02 28 05 30 42

Mél. contact@vachenantaise.fr www.vachenantaise.fr
Facebook | Twitter | Instagram : @vachenantaise

Téléchargez le programme de la Fête 2018 en cliquant ici:

 fichier pdf 2018 DOSSIER de présentation de la Fête 2018

vue d ensemble Vache Nantaise ok

Publications similaires

  • Taille d’un joug par Lionel Rouanet au pôle traction animale de la Fête de la Vache Nantaise, septembre 2018, Le Dresny (44)
  • Fête de la vache Nantaise 2018, pôle traction animale, un grand rassemblement de bouviers
  • Reportage photographique de Léonnie Biteau sur le pôle traction animale à la Fête de la vache Nantaise 2018
Publié le 10/02/201822/10/2025Auteur Michel NIOULOUCatégories Calendrier des manifestations, Dans l'actualité, Salons, fêtes, animations, démonstrations, spectaclesMots-clés 2018, 29 Finistere, 44 Loire Atlantique, Document PDF, Fete de la vache nantaise, Jean-Bernard HUON, Race nantaise, Spectacle; événement; animation...2 commentaires sur Fête de la vache Nantaise, pôle traction animale, le Dresny, 7, 8 et 9 septembre 2018

Montmorillon, CS UCA 2012/2013, Voyage pédagogique chez les bouviers de l’Ouest de la France, par Solène Gaudin

Voyage pédagogique

Par Solène Gaudin, stagiaire en traction animale au lycée de Montmorillon (86) et Emmanuel Fleurentdidier, formateur. 

Les élèves du CS-UCA (Certificat de Spécialisation-Utilisateurs de Chevaux Attelés) de Montmorillon (86), session 2012 – 2013, sont partis en voyage pédagogique pour la découverte d’exploitations en traction bovine en Loire-Atlantique, chez Jo Durand et Christine Arbeit, ainsi que dans le Finistère, chez Jean-Bernard et Laurence Huon.

Ce voyage a lieu depuis 4 ans sous l’initiative de Manu Fleurentdidier.


Un voyage de trois jours qui a permis à Vincent F, Ludivine, Vincent B, Aline, Solène de découvrir l’utilisation de la traction bovine sur des exploitations en polyculture-élevage.

C’est l’occasion de rencontrer et d’échanger avec des utilisateurs expérimentés et de mieux connaître leur travail. C’est aussi l’occasion pour certains d’entre-eux de trouver dans leur projet, une nouvelle orientation. C’est aussi un moment convivial passé avec Christine, Jo, Mélusine, Samson, Laurence et Jean-Bernard. 

Merci aussi aux boeufs qui ont eu patience des maladresses de nos stagiaires.   

Publications similaires

  • Découverte de la traction bovine le 24/05/2013 à Montmorillon (86), par Solène Gaudin
  • Travaux d’été 2013 chez Emmanuel Fleurentdidier (86), par Solène Gaudin
  • Voyage 2014 « Découverte traction bovine » des stagiaires du CS utilisateurs de chevaux attelés du Lycée agricole de Montmorillon (86) chez Jo Durand (44) et Jean-Bernard Huon (29)
Publié le 24/05/201323/10/2025Auteur Michel NIOULOUCatégories Dans l'actualité, Les bovins attelés dans les fermes aujourd'hui, TravauxMots-clés 2012, 2013, 29 Finistere, 44 Loire Atlantique, 86 Vienne, Centre de formation de Montmorillon, Christine ARBEIT, Emmanuel FLEURENDIDIER, Formation, Jean-Bernard HUON, Jo DURAND, Photo, Solène GAUDIN, Temps de rencontre, VoyageLaisser un commentaire sur Montmorillon, CS UCA 2012/2013, Voyage pédagogique chez les bouviers de l’Ouest de la France, par Solène Gaudin

Jean Bernard Huon, Riec-sur-Belon (29)

Toute sa vie, Jean Bernard Huon a travaillé avec des chevaux sur son exploitation. Désormais, il n’a plus de chevaux et attelle uniquement trois paires de boeufs.

Il explique son parcours dans ce reportage de France 3 Bretagne.

Publications similaires

  • Voyage 2014 « Découverte traction bovine » des stagiaires du CS utilisateurs de chevaux attelés du Lycée agricole de Montmorillon (86) chez Jo Durand (44) et Jean-Bernard Huon (29)
  • Fête de la Vache Nantaise 2018, attelage des boeufs de Jean-Bernard Huon, Le Dresny (44)
  • JEAN-BERNARD HUON, LA LIBERTÉ D’UN PAYSAN EN RÉSISTANCE, article du site de la revue ArMen.
Publié le 02/02/201324/09/2025Auteur Michel NIOULOUCatégories Bouviers, Labours, Les bovins attelés dans les fermes aujourd'hui, Salons, fêtes, animations, démonstrations, spectaclesMots-clés 29 Finistere, Boeuf, Bovin au joug, Jean-Bernard HUON, Race nantaise, Temoignage, Travail agricoleLaisser un commentaire sur Jean Bernard Huon, Riec-sur-Belon (29)

© 2025 Attelages bovins d'aujourd'hui

↑
↓